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**Planification de la retraite – voir plus loin après 50 ans

S’occuper de sa prévoyance à temps pour vivre pleinement sa retraite** En Suisse, le système de prévoyance vieillesse repose sur trois piliers: la prévoyance publique (1er pilier), la prévoyance professionnelle (2ème pilier) et la prévoyance individuelle (3ème pilier). Ce système laisse une grande place à l’initiative privée et aux possibilités d’optimisation. Si vous utilisez cette marge de manoeuvre et que vous commencez à planifier votre retraite suffisamment tôt, vous pourrez l’envisager l’esprit tranquille.

Pour la plupart des personnes, la retraite est un tournant majeur dans la vie. Elle influe sur le temps libre, les relations que l’on entretient avec son partenaire, les finances, le statut social, et sur bien d’autres domaines encore.

Personne ne sait a priori ce que c’est que la retraite, mais il est possible de s’y préparer en profitant des connaissances des autres et en anticipant cette nouvelle vie à venir.

Sur le plan financier surtout, il est utile d’organiser en temps voulu son retrait de la vie active, car il est encore possible d’optimiser sa prévoyance quelques années avant la retraite. Le système suisse de la prévoyance vieillesse vous offre une marge de manoeuvre suffisante à cet effet.

Le système des trois piliers
Le système de prévoyance suisse s’articule autour de trois piliers: la prévoyance publique, la prévoyance professionnelle et la prévoyance individuelle. La prévoyance publique est obligatoire pour tous, et la prévoyance individuelle, facultative. Les salariés qui touchent un salaire annuel de 20'880 CHF ou plus doivent obligatoirement être assurés dans le cadre de la prévoyance professionnelle; les indépendants peuvent quant à eux s’assurer s’ils le souhaitent.

En principe, le 1er pilier – la prévoyance publique – permet de couvrir les besoins vitaux. Le 2e pilier ou les prévoyances professionnelles sont censées maintenir le niveau de vie habituel après la retraite. Quant au 3e pilier, la prévoyance individuelle, il permet de combler les éventuelles lacunes.

Les prestations des 1er et 2e piliers ne suffisent généralement pas à maintenir le niveau de vie habituel.

Le 1er pilier : la prévoyance publique (AVS/AI)

Le 1er pilier inclut l’assurance-vieillesse et survivants (AVS), l’assurance-invalidité (AI) ainsi que les prestations complémentaires (PC), versées dans certains cas. L’AVS est l’oeuvre de solidarité la plus importante de Suisse; elle a vu le jour en 1948 et a été révisée dix fois depuis sa création.

L’AVS a été conçue pour compenser les pertes de revenu dues à l’âge ou à un décès :

  • La rente de vieillesse permet aux assurés de se retirer de la vie professionnelle en bénéficiant d’une sécurité financière.
  • La rente pour survivants empêche que le décès d’un conjoint ou d’un parent n’entraîne des difficultés financières insurmontables pour les survivants.

L’AVS est une assurance obligatoire. Tout adulte résidant ou travaillant en Suisse y est assuré. Les ressortissants suisses qui travaillent à l’étranger peuvent s’assurer à titre facultatif pour éviter d’avoir des lacunes de cotisations. Sont également assujettis à l’AVS les enfants et les personnes sans activité lucrative, telles que les étudiants, les personnes invalides, les bénéficiaires d’une rente ou les hommes et femmes au foyer.

L’AVS est financée selon le système de répartition: les cotisations versées par la population active sont immédiatement utilisées pour financer les rentes en cours. L’assurance repose donc sur le principe de la solidarité entre les générations.

Toutefois, depuis de nombreuses années, l’écart entre ceux qui cotisent et les bénéficiaires de rente ne cesse de se creuser, car la proportion de personnes âgées dans la population totale augmente constamment. A long terme, l’évolution démographique menace le système de l’AVS dans sa forme actuelle, à tel point que l’âge de la retraite devra peut-être être relevé tôt ou tard.

Les prestations de l’AVS ne représentent pas des sommes colossales et ne garantissent que le minimum vital. Les rentes de vieillesse sont calculées en fonction des années de cotisation et du « revenu annuel moyen déterminant ». Elles sont adaptées à l’évolution des salaires et des prix ; actuellement, la rente annuelle maximale s’élève à 27'840 CHF pour une personne seule et à 41'760 CHF pour un couple. La
rente minimale correspond à la moitié de la rente maximale.

Pour connaître le montant de la rente à laquelle vous aurez droit, vous pouvez commander votre extrait de compte AVS individuel sous
www.ahv.ch
Si vous êtes âgé de plus de 40 ans, il vous sera envoyé gratuitement.

Montant maximal de la rente annuelle AVS :

  • 27'840 CHF pour les personnes seules
  • 41'760 CHF pour les couples

Le 2e pilier : la prévoyance professionnelle (LPP)

Les caisses de pension ont plus de 100 ans d’existence et pourtant, la prévoyance professionnelle est restée longtemps facultative ; elle n’a été intégrée dans la Constitution fédérale qu’en 1972, pour constituer le 2e pilier de la prévoyance vieillesse. Et il a fallu attendre 1985 pour que la « loi fédérale sur la prévoyance professionnelle » institue le 2e pilier obligatoire.

La prévoyance professionnelle repose sur le principe suivant: une partie du revenu – représentant entre 3,5% et 9% du salaire assuré, en fonction de l’âge de l’intéressé – est portée au crédit d’un compte individuel au lieu d’être versée directement au salarié. L’employeur verse sur ce compte un montant au moins identique à la contribution du salarié. Le compte individuel est ainsi alimenté tous les mois par une somme qui s’élève entre 7% et 18% du salaire assuré, selon la classe d’âge à laquelle appartient le salarié.

L’argent placé sur ce compte au fil des ans constitue l’avoir de vieillesse, qui est rémunéré au taux d’intérêt minimal LPP. Actuellement, en 2011, ce taux est de 2%. Au moment du départ à la retraite, il est possible de retirer cet avoir sous la forme d’un capital ou de demander sa conversion en une rente de vieillesse viagère; vous trouverez de plus amples détails à ce sujet à partir de la page 18 de cette brochure.

Contrairement à l’AVS, le 2e pilier n’est pas une oeuvre de solidarité ; chacun épargne en principe pour soi-même. Les salariés âgés de 17 ans ou plus doivent être assurés auprès d’une caisse de pension par l’intermédiaire de leur employeur, s’ils versent des cotisations AVS et gagnent au moins 20'880 CHF par an. Jusqu’au 1er janvier suivant leur 24e anniversaire, les salariés qui versent des cotisations LPP ne sont assurés que contre le décès et l’invalidité ; ils commencent ensuite à constituer leur avoir de vieillesse.

Les personnes indiquées ci-après ne sont pas soumises au régime de la prévoyance professionnelle obligatoire :

  • les indépendants,
  • les salariés possédant un contrat de travail d’une durée de trois mois au maximum,
  • les personnes qui travaillent dans une exploitation agricole et qui sont membres de la famille du propriétaire de l’exploitation, et
  • les personnes qui sont en incapacité de gain à 70% au moins selon l’AI.

Pour les revenus élevés, le salaire n’est pas intégralement assujetti à l’assurance obligatoire. La part du salaire supérieure au montant maximal LPP, qui est de 83'520 CHF, est appelée la part surobligatoire et n’est soumise à aucune législation. Vous trouverez tous les détails concernant la part surobligatoire de votre avoir de vieillesse dans le règlement de votre caisse de pension.

Les prestations versées par la caisse de pension et par l’AVS sont censées garantir aux assurés le maintien de leur niveau de vie habituel après leur départ en retraite. Mais en raison des nombreuses modifications intervenues depuis l’introduction de la LPP, cet objectif est rarement atteint aujourd’hui.

La rémunération de l’avoir de vieillesse, par exemple, a été sensiblement réduite. Le taux de conversion, qui définit la part de l’avoir de vieillesse accumulé qui est versée chaque année aux assurés sous forme de rente, a lui aussi été abaissé. Lors de l’introduction de la LPP, ce taux a été fixé à 7,2%. Mais comme la population vieillit, il doit être ramené à 6,8% d’ici 2014. Cette petite différence de taux n’est pas sans conséquences: pour un avoir de vieillesse de 400'000 CHF, la rente annuelle s’élevait à 28'800 CHF avec le taux initial, alors qu’en 2014, elle ne sera plus que de 27'200 CHF.

Rente annuelle maximale du régime obligatoire LPP : environ 27 000 CHF.

Le 3e pilier : la prévoyance individuelle

Si les prestations des 1er et 2e piliers ne suffisent pas à maintenir votre niveau de vie habituel, vous pouvez combler les lacunes de prévoyance – au moins en partie – au moyen du 3e pilier.

La prévoyance individuelle présente deux variantes :

  • Le pilier 3a, appelé aussi prévoyance liée, est assorti d’avantages fiscaux: vous pouvez déduire de vos revenus le montant versé dans le cadre du pilier 3a et réaliser ainsi des économies d’impôts allant jusqu’à 2000 CHF. Lors du versement ultérieur du capital vieillesse accumulé dans le cadre du pilier 3a, un taux d’imposition réduit est appliqué. Les sommes pouvant être affectées chaque année au pilier 3a sont toutefois limitées.
  • Le pilier 3b, dit aussi prévoyance libre, est plus flexible, mais n’offre pas d’avantages fiscaux. Font partie du pilier 3b toutes les formes d’épargne privée autres que le pilier 3a : compte d’épargne, argent liquide, divers produits d’épargne et de placement, rentes viagères, logement en propriété, objets de valeur, etc.

**Le pilier 3a permet d’économiser jusqu’à 2000 CHF d’impôts par an.

« Il faut impérativement intégrer son partenaire dans la planification. »

Pourquoi planifier sa retraite puisque la loi a tout prévu?**
Bruno Kaufmann: Il y a beaucoup de choses que l’on peut et que l’on doit préparer soi-même, à commencer par les aspects suivants: ai-je l’intention de prendre une retraite anticipée? Comment gérer la transition entre la vie professionnelle et une retraite active? Comment organiser mon temps judicieusement le moment venu? Dois-je retirer l’avoir épargné auprès de ma caisse de pension sous la forme d’une rente ou d’un capital?

A quel moment faut-il commencer à planifier sa retraite?
Dans l’idéal, à partir de 50 ans. A cet âge, les enfants ont généralement atteint leur majorité; les besoins ne sont plus les mêmes, il reste du temps pour combler les lacunes financières éventuelles et en général, on jouit d’une situation professionnelle stable, et par conséquent d’un revenu confortable. Les indépendants doivent quant à eux se préoccuper de leur retraite dès la création de leur entreprise, tout au moins du point de vue de la planification de la succession.

Comment planifier sa retraite? A quoi faut-il prêter attention?
Il faut toujours intégrer son partenaire dans la planification, c’est très important. Adressez-vous à un conseiller en prévoyance spécialisé, qui étudiera les options s’offrant à vous au niveau de la prévoyance professionnelle: avez-vous la possibilité de procéder à un rachat pour augmenter votre avoir de vieillesse? Pouvez-vous vous permettre de demander un versement en capital ou d’envisager une retraite anticipée? Quel sera le montant de votre rente de vieillesse et de celle allouée à votre partenaire si vous veniez à décéder?

Quelles mesures prendre maintenant pour améliorer sa situation financière à la retraite?
Il existe plusieurs possibilités. La première consiste à racheter des années d’assurance auprès de sa caisse de pension, ce qui présente des avantages en termes d’optimisation fiscale, améliore la rente de vieillesse et peut éventuellement faciliter un départ en retraite anticipée. Se constituer un pilier 3a dans le cadre de la prévoyance individuelle assortie d’avantages fiscaux est aussi une solution. Mais ce qui me semble le plus important, c’est de réaliser des économies à son propre niveau: il faut éliminer les situations de surassurance et de double assurance et réduire ses coûts, par exemple en augmentant la franchise de son assurance-maladie.

**Planifier sa retraite : prendre son avenir en main en dix étapes

Trois piliers, retrait du capital, rentes, avoir de vieillesse – tout cela paraît bien compliqué. En réalité, il n’est pourtant pas si difficile de planifier financièrement sa retraite. Voici comment procéder en dix étapes.**

  1. Commencez tout d’abord votre planification en déterminant le budget qui servira à couvrir vos dépenses courantes pendant votre retraite. Réfléchissez aux projets que vous souhaitez réaliser plus tard, à votre train de vie futur et aux risques que vous devrez assumer en termes de finances et de santé. Tenez également compte de vos souhaits personnels tels que des investissements importants consacrés à votre logement.

    Supposons que vos dépenses courantes à la retraite s’élèvent à 80'000 CHF par an.

  2. Pour connaître le montant de la rente AVS annuelle à laquelle vous aurez droit, demandez un extrait de compte individuel à votre caisse de compensation AVS.

    La rente est plafonnée à 27'840 CHF par an.

  3. Adressez-vous à votre caisse de pension pour savoir également quel sera le montant de la rente LPP qui vous sera versée chaque année.

    Dans l’exemple présent, nous partons de l’hypothèse que la rente LPP s’élève à 27'160 CHF par an.

  4. Pour déterminer votre lacune de prévoyance annuelle, calculez la différence entre vos dépenses courantes et les rentes que vous recevrez de votre caisse de pension ainsi qu’au titre de l’AVS.

    80'000 CHF – 27'840 CHF –
    27'160 CHF = 25'000 CHF.

  5. A présent, vous pouvez estimer le capital qui vous sera nécessaire à l’âge de 65 ans pour combler votre lacune de prévoyance. Si l’on table sur une espérance de vie moyenne de 85 ans, vous devrez combler votre lacune de prévoyance annuelle pendant 20 ans pour réunir le capital nécessaire.

    20 x 25'000 CHF = 500'000 CHF (capital nécessaire).

  6. Calculez le montant du capital dont vous disposez aujourd’hui (capital effectif), c’est-à-dire les actifs que vous possédez déjà. Tenez compte du fait que votre capital est productif d’intérêts jusqu’à votre départ à la retraite.

    Somme disponible actuellement : 200'000 CHF. Grâce aux intérêts, ce capital s’élèvera à 260'000 CHF au moment du départ à la retraite (capital effectif).

  7. Faites la différence entre le capital effectif et le capital nécessaire pour déterminer vos besoins en capital et savoir quel montant vous devrez épargner jusqu’à la retraite pour faire alors face à vos dépenses courantes.

    500'000 CHF – 260'000 CHF =
    240'000 CHF (besoins en capital).

  8. Quel est le temps dont vous disposez pour épargner le capital manquant?
    Pour le savoir, déduisez votre âge actuel de l’âge de la retraite.

    65 – 45 = 20 ans.

  9. Vous pouvez à présent calculer le montant que vous devez épargner pour couvrir vos besoins en capital.

    240'000 CHF en 20 ans =
    12'000 CHF par an ou 1000 CHF par mois.

  10. Comparez le montant à épargner et vos ressources financières. Parviendrez-vous à épargner suffisamment d’argent d’ici votre retraite pour réunir le capital nécessaire? Dans la négative, plusieurs options s’offrent à vous pour optimiser votre budget. La première consiste à limiter vos dépenses après le départ à la retraite, afin de réduire vos besoins financiers annuels. Vous pouvez également ne prendre votre retraite qu’à l’âge de 67 ans, ce qui vous laisse plus de temps pour combler votre lacune de prévoyance. Ou encore, vous avez la possibilité de diminuer vos dépenses actuelles afin de mettre davantage d’argent de côté jusqu’à la retraite. Peut-être trouverez-vous par vous-même d’autres moyens d’optimiser votre stratégie de placement et de réaliser un meilleur rendement.

**Se constituer rapidement un patrimoine et l’utiliser en toute tranquillité

Planifier votre retraite vous permet de savoir quelle somme vous devez réunir pour profiter de votre retraite à l’abri des soucis financiers. Mais il vous faut commencer le plus tôt possible à constituer le patrimoine nécessaire et à réfléchir au meilleur placement pour la période qui suivra votre départ en retraite.**

Dans la plupart des cas, les revenus des 1er et 2e piliers ne couvrent que 40% à 60% du dernier salaire perçu avant la retraite. Si vous souhaitez maintenir votre niveau de vie habituel à la retraite, vous devez donc vous constituer un capital supplémentaire. Plus vous commencerez tôt à épargner, mieux ce sera, car l’effet des intérêts composés s’accroît au fil du temps.

Rendement ou sécurité
En matière de placements, il n’y a pas de gros gains sans risques importants. Aucun instrument de placement ne peut malheureusement se soustraire à la loi du rapport risque/rendement; un placement ne peut garantir des revenus élevés tout en offrant une sécurité maximale.

De même, il existe un conflit d’objectifs entre liquidité et rentabilité: des placements disponibles à court terme sont souvent synonymes de revenus moindres.

L’interaction entre le rendement, la sécurité et la liquidité implique des compromis permanents. Dans tous les cas, le choix de la forme de placement optimale dépend de vos besoins personnels ; il n’y a pas de stratégies de placement universelles, optimales pour tous.

Rares sont ceux qui peuvent prendre le risque de perdre leur capital de vieillesse dans des placements financiers. Si vous placez de l’argent dont vous aurez besoin pour la retraite, la sécurité doit l’emporter sur le rendement; ne prenez des risques élevés qu’avec le capital dont vous pouvez assumer la perte totale ou partielle.

Si vous hésitez lors du choix d’un placement pour votre capital de vieillesse, optez pour la sécurité, même si le rendement doit en pâtir. Par ailleurs, à l’approche de la retraite, choisissez des placements privilégiant la sécurité, car plus le temps passe, plus votre patrimoine est précieux.

Naturellement, il est frustrant de tout miser sur la sécurité et de voir des personne

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